Né en 1947, Jean-Paul GAVARD-PERRET enseigne la communication et poursuit depuis quarante années une recherche et une réflexion littéraires ponctuées déjà d’une vingtaine d’ouvrages. Il travaille aussi sur les taches d’encre publiées – entre autres – dans diverses revues.
Il a déjà publié :
Corps de Pierre, Le Pont de l’Épée, Paris, 1976.
Elle, Écrite , Hautécriture, Nouaillé, 1990.
Dans ses gestes, l’Attente, L’Incertain, Paris, 1991.
Le jour où j’ai tué Papa, Exquis-Cadavres, Virgin-Calman-Lévy. Paris, 1995.
L’oeil du Cyclope en collaboration avec le graveur Marc Pessin, La Main Courante, La Souterraine, 1995.
Douce, techniquement, Ecbolade, Noeux, 1996.
Généalogie vénitienne, Rafael de Surtis, Chèvres, 1998.
Drawing by embers, La Main Courante, La Souterraine, 1998.
Trois faces du nom, L’Harmattan, Paris, 1999.
Le cycle des vanités, Éditions Pierron, Sarreguemines, 1999.
K, Véronique Van Mol éditeur; Orgeo (Belgique), 2001.
Chants de déclin et de l’abandon, Éditions Pierron, Sarreguemines, 2003.
Dons de Mélancolie - à l’épreuve du temps, avec des photographies de Georgette Glodek, Editions Dumerchez, Creil, 2003.
Donner ainsi l’espace, Éditions La Sétérée, Crest, 2005.
A perte de vue : Manhattan Transfert, coll. Pamphlet, Éditions L’äne qui butine, Mouscron (Belgique), 2007.
Gisante, L’eden et après, Éditions Chloé des Lys, Bery (Belgique), 2007.
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