Michel Bourçon est né en 1963, à Nevers. Passionné de lecture, de musique, de cinéma et de peinture, il écrit régulièrement depuis une trentaine d’années. Il a publié de nombreux recueils de poésie dont Pratique de l’effacement chez L’Idée Bleue, et a participé à un bon nombre de revues et à plusieurs anthologies dont L’année poétique 2008 aux éditions Seghers.
Il a déjà publié :
Là seule, Les Carnets du Dessert de Lune, 2018
À l’arbre que l’on devient, Le Phare du Cousseix, 2017
À soi le lointain, Faï Fioc, 2017
Demeure de l’oubli, P.I.sage intérieur, 2016
Ce peu de soi, La tête à l’envers, 2016
Le moindre geste, Le pré carré, 2015
Jean Rustin, La vie échouée, La tête à l’envers, 2014
Les rues pluvieuses n’iront pas au ciel, Les Carnets du Dessert de Lune, 2014
Et ainsi les arbres, Potentille, 2012
D’un retour d’éclaircie (avec des encres de Jean-Claude Pirotte), Les Arêtes, 2011
Pratique de l’effacement, Le Dé Bleu/L’Idée Bleue, 2007
Peu dans le bleu, Les Arêtes, 2005
Quelque chose comme la paix, le calme, Les Carnets du Dessert de Lune, 2002
Comme une terre, Gros Textes, 2002
C’est la mer, Le pré carré, 2002
Poèmes de peu, L’Arbres à Paroles, 2002
De la route, Donner à voir, 2000
Pour répondre au vide, Franche Lippée, 2000
Un Massacre, Rafael de Surtis, 1999
Pour si peu, Gros Textes, 1999
Vivre est tout près, Les Carnets du Dessert de Lune, 1999
Six études de l’automne, Franche Lippée, 1998
De nous, Le pré carré, 1998
Permanence des chiens, JCB, 1997
Quai des mariniers, L’épide seigle, 1996
Carnets de petits riens, Les Carnets du Dessert de Lune, 1995
Dernière touche à l’oubli, Polder/Décharge, 1993
Je ne sais pas la pluie, L’arbre à paroles, 1993
Les heures immobiles, Echo optique, 1993
Un soir,un train, La Bartavelle, 1991
Fleur obscène de la pluie, Polder/Décharge, 1990
Transparence, Le jeu des tombes, 1989 |